Il était une fois, en Mal-Partoutie, un petit garçon, sans le sou, qui errait dans la campagne. Il vivait grâce à la générosité des passants, c'est dire qu'il vivait mal. La Mal-Partoutie était un royaume dirigé par le méchant et vil Gargamelus. Tous ses habitants étaient aussi méchants et vils que leur dirigeant. Les gentils, s'il en restait, migraient tous vers la Pousse-Partoutie, le pays de la tolérance et la générosité.
Malheureusement, ce petit garçon ignorait l'existence d'un tel pays. Il ignorait aussi que les humains pouvaient être heureux. Il trainait donc sa misère sans espérer mieux que ce qu'il avait.
Un jour, il assista à un évènement qui changea sa vie pour toujours.
Alors qu'il marchait sans but précis, il rencontra un homme qui paraissait en peine. Il s'en approcha, plus par curiosité que pour lui venir en aide. Cet homme trainait derrière lui un énorme chargement. C'était manifestement bien trop lourd pour un seul homme, aussi costaud soit-il. Plus le petit garçon regardait cet homme, plus il lui paraissait étrange. Son visage bonhomme contrastait avec tous les visages secs qu'il croisait d'habitude. De plus, il avait un rictus étrange sur le visage qui le rendait agréable à regarder. Comment dire, ..., il semblait "pas triste". Le petit garçon regardait avec de plus en plus d'intérêt cet homme. Et l'homme, amusé, regardait de plus en plus le petit garçon. Il lui adressa la parole: "Bonjour, mon jeune garçon, pourrais-tu donner un coup de main à un homme de passage, s'il te plaît?" lui dit-il amicalement. Le jeune garçon, déconcerté, mit un moment à répliquer. Jamais on ne lui avait parlé ainsi. Il pensa quelques secondes que cet homme se moquait de lui "bonjour, s'il te plaît", qu'est-ce que ça pouvait bien vouloir dire? Mais, il ne pouvait y croire. Cet homme, manifestement, attirait la sympathie. Il ne savait pas le formuler dans sa tête car le mot même de "sympathie" ne faisait pas partie de son langage. Mais un sentiment de sécurité émanait de cet homme. Il lui répondit donc d'un timide: "Oui, biensûr". L'homme lui expliqua brièvement que son travail était d'apporter des jouets à tous les enfants et qu'il n'avait qu'une nuit pour le faire. Seulement, il était tombé en panne de rennes et il devait tout transporter tout seul. Un peu d'aide n'était pas de trop. Le jeune garçon le regardait avec des yeux ronds. Il ne comprenait qu'un mot sur deux mais pressentait bien que cet homme n'avait strictement rien à faire dans son monde. Il osa donc lui répliquer: "Etes-vous sûr de ne pas vous être trompé de chemin, vous ne ressemblez en rien aux gens de ce pays?" L'homme eut un moment de doute: "Ne sommes-nous pas en Pousse-Parroutie, ici?" lui demanda t-il. "Euh, non, nous sommes en Mal-Partoutie." lui répondit le petit garçon. "Ah, c'est ennuyeux, à vrai dire, tu as raison, je me suis trompé de chemin. Serais-tu me l'indiquer? continua l'homme. "Je ne connais pas ce pays, monsieur, et je doute fort que vous trouviez quelqu'un pour vous aider" lui répondit l'enfant. S'en suivit une longue discussion sur les us et coutumes de la Mal-Partoutie. L'homme se rendit vite compte que ce pays était le plus ignoble qu'il eut jamais connu. Et ses habitants, les plus horribles. Il lui raconta à son tour la beauté de la Pousse-Partoutie. Le petit garçon n'en croyait pas ses oreilles. Comment un tel pays pouvait exister? L'homme lui proposa de partir avec lui et de l'aider à distribuer ses jouets aux enfants pousse-partoutiens. Il le fit avec bonheur. Il migra vers la Pousse-Partoutie et changea complètement de vie. Il en oublia complètement l'ancienne jusqu'au jour où l'homme, deveunu très vieux, mourut. L'ayant formé à son métier de distributeur de jouets, le garçon, devenu adulte, devait continuer à perpétuer cette tradition. Et cette évidence vint à lui: pourquoi ne pas distribuer des jouets à tous les enfants: les pousse-partoutiens et les mal-partoutiens. Ces derniers ne connaissant pas le bonheur, ils pourraient peut-être le rencontrer? Tout le monde devrait avoir une chance de le connaître! Il prit sa hotte, sa combinaison rouge et partit distribuer tous ces cadeaux aux enfants des deux pays. C'est ainsi que commença la légende de Poussnoël: l'homme qui débuta la longue réunification des 2 pays pour n'en former qu'un: la seule et l'unique Pousse-Partoutie.
Cousin Machin
Malheureusement, ce petit garçon ignorait l'existence d'un tel pays. Il ignorait aussi que les humains pouvaient être heureux. Il trainait donc sa misère sans espérer mieux que ce qu'il avait.
Un jour, il assista à un évènement qui changea sa vie pour toujours.
Alors qu'il marchait sans but précis, il rencontra un homme qui paraissait en peine. Il s'en approcha, plus par curiosité que pour lui venir en aide. Cet homme trainait derrière lui un énorme chargement. C'était manifestement bien trop lourd pour un seul homme, aussi costaud soit-il. Plus le petit garçon regardait cet homme, plus il lui paraissait étrange. Son visage bonhomme contrastait avec tous les visages secs qu'il croisait d'habitude. De plus, il avait un rictus étrange sur le visage qui le rendait agréable à regarder. Comment dire, ..., il semblait "pas triste". Le petit garçon regardait avec de plus en plus d'intérêt cet homme. Et l'homme, amusé, regardait de plus en plus le petit garçon. Il lui adressa la parole: "Bonjour, mon jeune garçon, pourrais-tu donner un coup de main à un homme de passage, s'il te plaît?" lui dit-il amicalement. Le jeune garçon, déconcerté, mit un moment à répliquer. Jamais on ne lui avait parlé ainsi. Il pensa quelques secondes que cet homme se moquait de lui "bonjour, s'il te plaît", qu'est-ce que ça pouvait bien vouloir dire? Mais, il ne pouvait y croire. Cet homme, manifestement, attirait la sympathie. Il ne savait pas le formuler dans sa tête car le mot même de "sympathie" ne faisait pas partie de son langage. Mais un sentiment de sécurité émanait de cet homme. Il lui répondit donc d'un timide: "Oui, biensûr". L'homme lui expliqua brièvement que son travail était d'apporter des jouets à tous les enfants et qu'il n'avait qu'une nuit pour le faire. Seulement, il était tombé en panne de rennes et il devait tout transporter tout seul. Un peu d'aide n'était pas de trop. Le jeune garçon le regardait avec des yeux ronds. Il ne comprenait qu'un mot sur deux mais pressentait bien que cet homme n'avait strictement rien à faire dans son monde. Il osa donc lui répliquer: "Etes-vous sûr de ne pas vous être trompé de chemin, vous ne ressemblez en rien aux gens de ce pays?" L'homme eut un moment de doute: "Ne sommes-nous pas en Pousse-Parroutie, ici?" lui demanda t-il. "Euh, non, nous sommes en Mal-Partoutie." lui répondit le petit garçon. "Ah, c'est ennuyeux, à vrai dire, tu as raison, je me suis trompé de chemin. Serais-tu me l'indiquer? continua l'homme. "Je ne connais pas ce pays, monsieur, et je doute fort que vous trouviez quelqu'un pour vous aider" lui répondit l'enfant. S'en suivit une longue discussion sur les us et coutumes de la Mal-Partoutie. L'homme se rendit vite compte que ce pays était le plus ignoble qu'il eut jamais connu. Et ses habitants, les plus horribles. Il lui raconta à son tour la beauté de la Pousse-Partoutie. Le petit garçon n'en croyait pas ses oreilles. Comment un tel pays pouvait exister? L'homme lui proposa de partir avec lui et de l'aider à distribuer ses jouets aux enfants pousse-partoutiens. Il le fit avec bonheur. Il migra vers la Pousse-Partoutie et changea complètement de vie. Il en oublia complètement l'ancienne jusqu'au jour où l'homme, deveunu très vieux, mourut. L'ayant formé à son métier de distributeur de jouets, le garçon, devenu adulte, devait continuer à perpétuer cette tradition. Et cette évidence vint à lui: pourquoi ne pas distribuer des jouets à tous les enfants: les pousse-partoutiens et les mal-partoutiens. Ces derniers ne connaissant pas le bonheur, ils pourraient peut-être le rencontrer? Tout le monde devrait avoir une chance de le connaître! Il prit sa hotte, sa combinaison rouge et partit distribuer tous ces cadeaux aux enfants des deux pays. C'est ainsi que commença la légende de Poussnoël: l'homme qui débuta la longue réunification des 2 pays pour n'en former qu'un: la seule et l'unique Pousse-Partoutie.
Cousin Machin
4 commentaires:
Oh, c'est beau, j'en ai la larme à l'oeil!!!
Alors les histoires du p'tit Jésus et de Coca Cola? C'est des conneries????!!!!!
Hello, i am steven spielberg, it's not a joke, could i speak with the Pousse-partout president because i would like to make a film with this fantastic story. I'm very proud to be probably the first who contact your association. One of my producer is in france on holiday, you know the bernerie en retz beach, he will probably contact you on monday to speak about this project.
Bye steven
c'est totalemant n'importe coi ça. je le sais bien parceque sais ma copine Pénélope qui me la di, tout ça c'est des histoires pour les petit poussepartoutiens. même que Pénélope elle est trait intelligente c'est la première de la classe et elle m'a dit que s'était les grand qui avait invanté ça pour relancer l'économie en poussepartoutie, c'est suremant vrai car c'est son père qui lui a di et même que son père il s'y connai car il est facteur, il s'appelle même Olivier Poussancenot, et qu'il y connait baucou de chose en économie parceque c'est lui qui envoi les facture aux poussepartoutiens. alors faut pas croire tout ce quon dit, le pouss noël n'existe pas!!!
françois xavier CE 2
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