mardi 30 décembre 2008

BONNE POUSS'ANNEE

En Poussepartoutie, comme dans beaucoup d'autres endroits, l'année 2008 se termine pour laisser place à une nouvelle année, l'année 2009. OUI, en Poussepartoutie, nous sommes pour que le temps passe, nous sommes contre la fixation du temps...NON, nous le disons haut et fort, nous ne partageons pas les valeurs des fonacons ( http://www.fonacon.net/fonactu.php ) qui veulent une fois de plus figer le temps. Car en Poussepartoutie, le temps passe comme l'eau coulant dans le lit de la rivière, comme un oiseau volant dans le ciel, come une météorite transperçant la nuit étoilée ou bien même comme un homme pètant dans une forêt...

Sans l'écoulement du temps, il n'y aurait ni passé, ni futur et encore moins de présent: "hier est derrière, demain est un mystère, aujourd'hui est un cadeau, c'est pour cela que nous l'appelons présent".

Ainsi en Poussepartoutie nous disons "OUI" au temps qui passe. Sans doute faudrait t'il qu'il passe parfois un peu plus vite et d'autre fois un peu moins vite. C'est pour cela que nos chercheurs poussepartoutiens ont pour projet pour l'année 2009 de concevoir "l'acceléroralentisseur de temps". Cet appareil consisterait à bouffer du mauvais temps pour le transformer en bon temps. Tout ceci est à l'étude pour l'instant.

Comme vous le voyez en Poussepartoutie il y a toujours des projets car en Poussepartoutie le temps passe. Lorsque le temps se fige, il n'y a plus de projets.

Les pousse-partout vous souhaitent alors une joyeuse année 2009, qu'elle soient riche, folle et drôle, qu'elle soit Poussepartoutienne. Et bonne année aux fonacons.

La République Farçaise de Poussepartoutie.

samedi 27 décembre 2008

JOYEUX NOËL ET MERCI

Ca y est Noël est bien passé. Comme beaucoup d'entre vous, je suppose, vous avez pu vous rendre compte que les Pousse-partout ont offert à la population hilairoise un énorme cadeau. En plus d'être immense, magnifique, étincellant, celui-ci est magique. En effet, celui-ci a le don de prédire l'avenir ou tout du moins de vous délivrer une maxime qui vous permettra de mieux affronter l'année 2009.
Ainsi, les Pousse-partout espèrent pour tout ceux qui ont tourné la roue, que le message qui en est ressorti les aidera dans leur avenir.
Par contre nous tenons à mettre en garde les gens, sur la fiabilité de la magie de notre roue. En effet celle-ci (la magie) opère seulement si les utilisateurs de la roue y croient . Alors croyez et ça marchera forcément.
En tous cas les pousse-partout remercient tous les gens qui ont su admirer notre cadeau et qui ont osé tourner la roue.

mercredi 17 décembre 2008

Venez tourner la roue du destin!

Pour les fêtes de fin d'année, les PP vous offrent
un énorme cadeau


Venez le découvrir sur l'espace Klettgau (à côté de la boulangerie).

mercredi 3 décembre 2008

La légende de Poussnoël

Il était une fois, en Mal-Partoutie, un petit garçon, sans le sou, qui errait dans la campagne. Il vivait grâce à la générosité des passants, c'est dire qu'il vivait mal. La Mal-Partoutie était un royaume dirigé par le méchant et vil Gargamelus. Tous ses habitants étaient aussi méchants et vils que leur dirigeant. Les gentils, s'il en restait, migraient tous vers la Pousse-Partoutie, le pays de la tolérance et la générosité.
Malheureusement, ce petit garçon ignorait l'existence d'un tel pays. Il ignorait aussi que les humains pouvaient être heureux. Il trainait donc sa misère sans espérer mieux que ce qu'il avait.
Un jour, il assista à un évènement qui changea sa vie pour toujours.
Alors qu'il marchait sans but précis, il rencontra un homme qui paraissait en peine. Il s'en approcha, plus par curiosité que pour lui venir en aide. Cet homme trainait derrière lui un énorme chargement. C'était manifestement bien trop lourd pour un seul homme, aussi costaud soit-il. Plus le petit garçon regardait cet homme, plus il lui paraissait étrange. Son visage bonhomme contrastait avec tous les visages secs qu'il croisait d'habitude. De plus, il avait un rictus étrange sur le visage qui le rendait agréable à regarder. Comment dire, ..., il semblait "pas triste". Le petit garçon regardait avec de plus en plus d'intérêt cet homme. Et l'homme, amusé, regardait de plus en plus le petit garçon. Il lui adressa la parole: "Bonjour, mon jeune garçon, pourrais-tu donner un coup de main à un homme de passage, s'il te plaît?" lui dit-il amicalement. Le jeune garçon, déconcerté, mit un moment à répliquer. Jamais on ne lui avait parlé ainsi. Il pensa quelques secondes que cet homme se moquait de lui "bonjour, s'il te plaît", qu'est-ce que ça pouvait bien vouloir dire? Mais, il ne pouvait y croire. Cet homme, manifestement, attirait la sympathie. Il ne savait pas le formuler dans sa tête car le mot même de "sympathie" ne faisait pas partie de son langage. Mais un sentiment de sécurité émanait de cet homme. Il lui répondit donc d'un timide: "Oui, biensûr". L'homme lui expliqua brièvement que son travail était d'apporter des jouets à tous les enfants et qu'il n'avait qu'une nuit pour le faire. Seulement, il était tombé en panne de rennes et il devait tout transporter tout seul. Un peu d'aide n'était pas de trop. Le jeune garçon le regardait avec des yeux ronds. Il ne comprenait qu'un mot sur deux mais pressentait bien que cet homme n'avait strictement rien à faire dans son monde. Il osa donc lui répliquer: "Etes-vous sûr de ne pas vous être trompé de chemin, vous ne ressemblez en rien aux gens de ce pays?" L'homme eut un moment de doute: "Ne sommes-nous pas en Pousse-Parroutie, ici?" lui demanda t-il. "Euh, non, nous sommes en Mal-Partoutie." lui répondit le petit garçon. "Ah, c'est ennuyeux, à vrai dire, tu as raison, je me suis trompé de chemin. Serais-tu me l'indiquer? continua l'homme. "Je ne connais pas ce pays, monsieur, et je doute fort que vous trouviez quelqu'un pour vous aider" lui répondit l'enfant. S'en suivit une longue discussion sur les us et coutumes de la Mal-Partoutie. L'homme se rendit vite compte que ce pays était le plus ignoble qu'il eut jamais connu. Et ses habitants, les plus horribles. Il lui raconta à son tour la beauté de la Pousse-Partoutie. Le petit garçon n'en croyait pas ses oreilles. Comment un tel pays pouvait exister? L'homme lui proposa de partir avec lui et de l'aider à distribuer ses jouets aux enfants pousse-partoutiens. Il le fit avec bonheur. Il migra vers la Pousse-Partoutie et changea complètement de vie. Il en oublia complètement l'ancienne jusqu'au jour où l'homme, deveunu très vieux, mourut. L'ayant formé à son métier de distributeur de jouets, le garçon, devenu adulte, devait continuer à perpétuer cette tradition. Et cette évidence vint à lui: pourquoi ne pas distribuer des jouets à tous les enfants: les pousse-partoutiens et les mal-partoutiens. Ces derniers ne connaissant pas le bonheur, ils pourraient peut-être le rencontrer? Tout le monde devrait avoir une chance de le connaître! Il prit sa hotte, sa combinaison rouge et partit distribuer tous ces cadeaux aux enfants des deux pays. C'est ainsi que commença la légende de Poussnoël: l'homme qui débuta la longue réunification des 2 pays pour n'en former qu'un: la seule et l'unique Pousse-Partoutie.

Cousin Machin